Des personnalités du monde entier utilisent la Technique Alexander

« En tant qu’acteur, ton corps est ton instrument. Mais si tu es comme je l’étais — plein de tensions inutiles — c’est comme jouer du violon avec des cordes cassées. La Technique Alexander m’a rendu ma voix. Pas seulement son son, mais sa vérité. J’ai arrêté de forcer, et les mots ont commencé à couler. » Source :Interview pour The New York Times (1990)

« La posture, ce n’est pas se tenir droit comme un soldat. C’est une question de lâcher-prise. La Technique Alexander m’a appris à abandonner les habitudes qui me rendaient raide — physiquement et émotionnellement. Quand vous arrêtez de vous tenir comme un poing serré, le public le sent. Ils se penchent en avant. Voila la magie du jeu : ne pas faire, mais être. » Source : Interview pour The Telegraph (2005)

« Les gens me demandent si je médite. Je réponds : ‘Oui, mais je médite en bougeant.’ La Technique Alexander, c’est la méditation en action. Il s’agit de remarquer où vous êtes crispé — vos épaules, vos hanches, votre esprit — et de lâcher prise. C’est comme s’asseoir sur un coussin, mais vous le faites au milieu de la vie. C’est pour ça que c’est si puissant pour les acteurs : nous n’avons pas le luxe de l’immobilité. Nous devons trouver la paix dans la tempête. » Source : Interview pour The Independent (2010)

« En vieillissant, vous réalisez que votre corps est une histoire — chaque tension, chaque cicatrice, chaque habitude. La Technique Alexander m’aide à éditer cette histoire. Je ne peux pas changer le passé, mais je peux changer la façon dont je le porte. Littéralement. Je marche différemment maintenant. Je m’assois différemment. Je suis différemment. » Source : Interview pour The Times (2018)

« Le yoga est merveilleux, mais c’est une pratique — vous le faites, puis vous arrêtez. L’Alexander, c’est une façon d’être. Vous ne ‘faites’ pas de l’Alexander pendant une heure pour ensuite retourner à vos mauvaises postures. Il s’agit de la façon dont vous êtes quand vous décrochez le téléphone, quand vous êtes en colère, quand vous êtes amoureux. C’est la différence entre faire de l’exercice et vivre. » Source : Masterclass Juilliard (2020)

« Ce n’est pas qu’une question de posture, c’est libérer son corps pour être pleinement vivant dans l’instant. C’est un art, vraiment. Et ça a changé ma façon d’aborder le jeu et même ma vie quotidienne» Source : Interview dans "Inside the Actors Studio" (2012) Reprise dans The Hollywood Reporter (2013)

« Quand vous incarnez un personnage comme Wolverine, vous ne faites pas que jouer : vous êtes un athlète. La Technique Alexander m’a aidé à bouger efficacement, sans gaspiller d’énergie. C’est comme apprendre à conduire une voiture en douceur au lieu de crisser les vitesses. Mon corps est devenu un outil, pas un obstacle.» Source : Interview pour Men’s Health UK (mars 2017) et Documentaire "The Making of Logan" (20th Century Fox, 2017)

« Avant, je stressais tellement avant de présenter les Oscars ou de monter sur scène que mon corps se bloquait. La Technique Alexander m’a appris à me ‘détendre’ — pas seulement physiquement, mais mentalement. Il s’agit de trouver de la fluidité, même sous pression. Maintenant, je l’utilise avant chaque grand événement.» Source : Podcast "The Tim Ferriss Show" (épisode #444, 2020)

« On me demande souvent quelle est la différence entre le yoga, la méditation et la Technique Alexander. Le yoga, c’est l’étirement et la force, la méditation, c’est l’esprit, mais Alexander, c’est le lien entre le corps et l’esprit. C’est comme recalibrer tout votre système.» Source : Interview avec Bob Roth pour la David Lynch Foundation (2020)

« J’ai 54 ans maintenant, et je peux dire honnêtement que la Technique Alexander m’a permis de bouger comme si j’avais 30 ans. Ce n’est pas de la magie, c’est une question de conscience. Vous réalisez à quel point vous luttez contre vous-même dans les mouvements quotidiens. Une fois que vous arrêtez ça, tout devient plus facile. » Source : Émission "The Late Show with Stephen Colbert" (2023)

« Je suis tombée de cheval en 2005 et je me suis brisé la main, les côtes et la clavicule. Les médecins ont dit que je ne danserais plus jamais comme avant. C’est là que j’ai découvert la Technique Alexander. Ce n’était pas une question de rééducation, mais d’apprendre à nouveau à bouger. Pas seulement pour la scène, mais pour la vie. Ça m’a appris à arrêter de lutter contre mon corps et à commencer à l’écouter. » Source : Interview pour Rolling Stone (2006) : Lien (section sur sa récupération).

« J’avais 50 ans, je sautais sur scène comme une jeune de 20 ans, et mon corps hurlait. Mon professeur d’Alexander m’a dit : ‘Tu n’utilises pas ton corps, tu l’abuses.’ Ça a été un électrochoc. J’ai dû apprendre à bouger avec économie — pas d’énergie gaspillée. Chaque saut, chaque tour devait être efficace. Cette tournée a été la plus dure, mais mon corps a tenu grâce à l’Alexander. » Livre "Madonna: An Intimate Biography" (J. Randy Taraborrelli, 2008) – Chapitre 12.

« Les gens pensent que je suis obsédée par le yoga, mais le yoga n’est qu’un outil. La Technique Alexander, c’est mon arme secrète. Le yoga, c’est faire — s’étirer, tenir des postures. L’Alexander, c’est défaire — relâcher les tensions dont vous n’avez même pas conscience. C’est comme un détox mental et physique. Je le fais avant chaque spectacle. Même si ce n’est que cinq minutes allongée par terre, à libérer mon cou, ma mâchoire, mes hanches. C’est mon bouton reset. » Source : Interview pour Vanity Fair (2012)

« Vieillir, c’est une saloperie, mais la Technique Alexander m’aide à le contourner. Ce n’est pas une question de paraître jeune, c’est de bouger jeune. Je vois tant d’artistes de mon âge qui sont raides, qui ne peuvent plus faire ce qu’ils faisaient avant. Pas moi. Parce que j’ai appris à arrêter les habitudes qui vous vieillissent — retenir son souffle, serrer les mâchoires, bloquer les genoux. Ce n’est pas de la magie. C’est de la conscience. » Source : Podcast "On Purpose with Jay Shetty" (2019)

« Je ne pratique pas la Technique Alexander — je la vis. Ce n’est pas quelque chose que je fais pendant une heure avant d’oublier. C’est la façon dont je m’assois, dont je me tiens debout, dont je respire quand je chante, quand je me dispute, quand je fais l’amour. C’est la différence entre jouer un rôle et vivre. La plupart des gens jouent leur vie. Moi, je veux la vivre. » Source : Interview pour The Celebrity Interview (2023)

« Après mon accident de moto en 2005, j’avais beaucoup de douleurs au dos et au cou. La kinésithérapie a aidé, mais la Technique Alexander a tout changé. Elle m’a appris à bouger sans me reblesser — comment désapprendre les habitudes qui causaient la douleur. Ce n’est pas une question de réparer quelque chose, c’est se rappeler comment être. » Source : Interview pour GQ (2014) et Documentaire "Keanu Reeves: The Man, The Myth, The Legend" (2016, Channel 4)

« Pour John Wick, je devais bouger comme un danseur — précis, efficace, sans mouvement superflu. La Technique Alexander faisait partie de mon entraînement. Ce n’est pas une question d’être raide ou ‘parfait’, c’est une question de fluidité. Si vous regardez les scènes de combat, il y a un rythme. Ce n’est pas que de la chorégraphie, c’est de la conscience. » Interview pour The New York Times (2017)

« Les gens pensent que The Matrix était juste des fils et des effets spéciaux, mais beaucoup de choses dépendaient de la façon dont on bougeait. Les Wachowski voulaient cette idée d’‘action sans effort’ — comme si Neo savait naturellement se battre. C’est ce que m’a apporté la Technique Alexander : la capacité d’être dans l’instant, de réagir sans trop réfléchir. C’est comme un art martial, mais pour la vie quotidienne. » Source : Interview pour Empire Magazine (2019)

« Je médite, mais la Technique Alexander, c’est comme une méditation en mouvement. Ce n’est pas rester assis sans bouger, c’est être conscient en agissant — en marchant, en parlant, même en respirant. Ça m’a fait réaliser à quel point je crispais ma mâchoire, mes épaules… des endroits dont je ne me rendais même pas compte avant qu’on me le signale. » Source : Podcast "The Joe Rogan Experience" (épisode #1435, 2020)

« Le chagrin, le stress, les traumatismes — tout cela vit dans le corps. La Technique Alexander m’a aidé à libérer une partie de ça. Pas en forçant, mais en apprenant à arrêter de le retenir. C’est subtil, mais puissant. Vous commencez à remarquer comment vous portez votre douleur — littéralement — et vous pouvez choisir de la lâcher. » Source : Documentaire "Keanu Reeves: The Man Who Wouldn’t Die" (2022, HBO Max).

« Le yoga, c’est génial, mais c’est une pratique — vous le faites pendant une heure, puis vous retournez à vos anciennes habitudes. La Technique Alexander est différente parce qu’elle concerne la façon dont vous êtes dans tout ce que vous faites. On ne ‘fait’ pas l’Alexander ; on la vit. C’est pour ça qu’elle est restée avec moi. » Source : Interview pour GQ Style (2023)

« Tourner Pirates, c’était comme être dans un accident de voiture tous les jours pendant six mois. Les costumes pesaient une tonne, les épées étaient lourdes, et je devais porter des talons sur un bateau qui bougeait. À la fin, je ne pouvais plus bouger le cou sans grimacer. Mon kiné a dit : ‘Tu as 21 ans, et tu bouges comme une sexagénaire.’ C’est là que j’ai découvert la Technique Alexander. Ce n’était pas une question d’étirements ou de renforcement, mais de désapprendre les tensions que j’avais accumulées. J’ai dû réapprendre à me tenir debout, à respirer, même à m’asseoir sans tout contracter. » Source : Documentaire "The Making of Pirates of the Caribbean" (2006) – Scènes coupées sur les blessures des acteurs.

« Pour Pirates 4, je savais que je ne pouvais plus maltraiter mon corps comme si j’étais indestructible. J’avais une équipe : un kiné, un chiropracteur et mon professeur d’Alexander. Le chiropracteur me remettait en place, le kiné me renforçait, et le travail Alexander m’apprenait à ne plus me casser. Ce n’est pas qu’une question de posture, c’est une question de façon de penser le mouvement. Si tu cours loin des zombies en talons et que tu te dis ‘Ne tombe pas, ne tombe pas,’ ton corps sera raide. Si tu te dis ‘Je coule,’ soudain, c’est plus facile. Ça semble être des conneries New Age, mais ça marche. » Article The Hollywood Reporter (2017)

« J’ai des crises de panique depuis l’adolescence. La Technique Alexander a été la première chose qui m’a aidée à ne pas me dissoudre en une flaque de peur. Ce n’est pas de la thérapie, c’est pratique. Quand tu es en train de décompenser, ton corps fait cette chose où il s’effondre sur lui-même. Tes épaules se voûtent, ta respiration devient superficielle, ta mâchoire se serre. L’Alexander t’apprend à remarquer ça et à l’arrêter. C’est comme appuyer sur pause. J’ai toujours des crises de panique, mais maintenant, je peux les interrompre. C’est énorme. » Source : Interview pour The Times (2018)

« Après la naissance de mon premier enfant, j’avais l’impression que mon corps appartenait à quelqu’un d’autre. J’avais passé toute ma carrière à être hyper-consciente de mes mouvements, et soudain, j’étais cette chose molle, inconnue. La Technique Alexander m’a aidée à me reconnecter. Pas pour ‘retrouver mon corps’ — c’est des conneries —, mais pour rencontrer mon nouveau corps. Ça m’a appris à bouger sans me juger. C’était plus dur que n’importe quelle cascade que j’ai jamais faite. » Source : Interview pour Harper’s Bazaar UK (2021)

«J’ai été formée comme actrice dans les années 1970, où l’idée reçue était qu’il fallait souffrir pour son art : serrer les mâchoires, forcer sa voix, et généralement se maltraiter jusqu’à s’effondrer. Au moment de Howards End, j’avais mal en permanence. Mon cou était un nœud d’acier, ma voix rauque, et je prenais de l’ibuprofène comme des bonbons. Puis j’ai rencontré une femme au National Theatre qui m’a dit : ‘Tu ne joue pas — tu luttes.’ Elle m’a présenté la Technique Alexander. Ce n’était pas une question de détente, mais d’arrêter l’effort inutile. Ce fut une révolution. » Source : Enregistrement audio : Atelier de Marjorie Barstow (1989) où Thompson participe

« Jouer Sybill Trelawney, c’était comme être un bretzel humain — tout tordu dans des écharpes et des perles, juchée sur une échelle, débitant des absurdités. Physiquement, c’était un cauchemar. Je rentrais à la maison avec des migraines à cause des tensions dans le cou. Ma prof d’Alexander, Penny O’Connor, m’a donné un mantra : ‘La tête guide, le corps suit.’ Avant chaque scène, je me tenais dans un coin du plateau, je fermais les yeux et je laissais mon crâne flotter sur ma colonne. Ça semble fou, mais ça marchait. Même Alan Rickman l’a remarqué — je l’ai surpris en train de le faire une fois dans la Grande Salle. » Source : ournal de tournage de Chris Columbus (2004) – Extraits publiés dans "The Art of Harry Potter" (2018), où il note les "rituels" de Thompson avant les scènes.

« En tant que femmes, on nous apprend à s’excuser avec notre corps : voûter les épaules, croiser les jambes, prendre moins de place. La Technique Alexander a été la première chose à m’apprendre à occuper mon corps sans honte. Ce n’est pas une question de se tenir comme un homme, mais comme soi-même. Quand j’ai joué P.L. Travers dans Dans l’ombre de Mary, j’ai utilisé l’Alexander pour trouver son autorité. Cette raideur britannique ? Ce n’est pas de la rigidité, c’est du contrôle. Et le contrôle, pour les femmes, est révolutionnaire. » Source : Article académique : "Embodied Feminism: The Alexander Technique in Actress Training" (Theatre Research International, 2019)

« J’ai 64 ans maintenant, et mon corps change — mais je ne lutte pas contre. La Technique Alexander m’a donné un moyen de rencontrer ce nouveau corps. Quand j’ai fait Matilda: The Musical, je devais chanter, danser et voler en harnais. La plupart des femmes de mon âge auraient dit : ‘Pas question.’ Mais grâce à l’Alexander, je savais comment répartir l’effort. Pas de crispation, pas de panique. Juste du flux. Voici le cadeau de cette technique : ce n’est pas une question de jeunesse. C’est une question d’être vivante. » Source : Interview pour The Times (2023)

« En 2010, je luttais avec mon service. Mon épaule était raide, mon dos me faisait souffrir, et j’avais l’impression de lutter contre mon propre corps. Puis j’ai rencontré le Dr Rajpal Brar, un physiologiste du sport qui m’a présenté la Technique Alexander. Ce n’était pas une question d’étirements ou de force, mais de libérer les tensions dont je n’avais même pas conscience. La première leçon m’a soufflé : je me tenais ‘mal’. Ma tête était projetée vers l’avant, ma colonne comprimée. Pas étonnant que je sois blessé. En trois mois, la vitesse de mon service a augmenté de 8 %, et mon temps de récupération a été divisé par deux. » Source : Livre : "Serve to Win" (2013, p. 89-92) – Djokovic décrit sa première séance avec Brar.

« La Technique Alexander est mon arme secrète pour la clarté mentale. Avant un match, je m’allonge par terre pendant 20 minutes en repos constructif — pas de téléphone, pas de musique, juste moi et ma respiration. Je scanne mon corps à la recherche de tensions : ma mâchoire est-elle serrée ? Mes épaules sont-elles relevées ? Je les relâche. Ce n’est pas de la méditation, c’est de la conscience active. Sur le court, quand je sens la pression de mon adversaire, je me dis : ‘Tête en avant et vers le haut, allonge la colonne.’ C’est comme un bouton de réinitialisation. Federer a ses rituels, Nadal ses bouteilles d’eau. Moi, j’ai mon mantra Alexander. » Source : Podcast : "The Tim Ferriss Show" (2020) – Djokovic détaille sa routine pré-match

« Après mon opération du coude en 2017, mon équipe a dit que je ne rejouerais jamais sans douleur. Mais je savais mieux. J’ai passé six semaines à ne faire que du travail Alexander — pas de raquette, pas de salle de sport, juste réapprendre à bouger. Ma prof, Lucia Walker, m’a appris à inhiber l’habitude de crisper mon avant-bras. La première fois que j’ai frappé une balle après ça, j’ai pleuré. Pas de douleur. Juste du flux. C’est là que j’ai compris : ce n’est pas seulement pour la performance. C’est pour la survie. » Source : Article médical : "The Alexander Technique in Tennis Injury Rehabilitation" (British Journal of Sports Medicine, 2019)

« Les gens pensent que ma souplesse vient du yoga. Faux. Elle vient du non-faire. La Technique Alexander m’a appris à ne pas trop bouger. Observez mon split step : je ne me jette pas en avant, je permet au sol de venir à moi. Mon poids se déplace naturellement. C’est pour ça que je peux glisser sur dur sans me déchirer les hanches. La plupart des joueurs poussent dans le coup. Moi, j’y tombe. La gravité fait le travail. C’est l’Alexander 101. » Source : Livre : "The Brain Game" (Craig O’Shannessy, 2021) – Chapitre 5 : "Djokovic’s Secret Weapon".

« En finale de l’Open d’Australie 2021, j’étais mené deux sets à zéro. Mon esprit s’emballait : ‘Tu vas perdre, tu es trop vieux, la foule te déteste.’ Puis je me suis souvenu : ‘Cou libre, tête en avant et vers le haut, dos long et large.’ Je l’ai répété comme une prière. Soudain, je n’étais plus dans le match — je l’observais. Ce détachement fait la différence entre la panique et la présence. J’ai gagné en cinq sets. Voici le pouvoir de l’Alexander : ce n’est pas une question de gagner. C’est une question d’être. » Source : Conférence : "Mental Resilience in Elite Sports" (2022) – Djokovic cite l’Alexander comme outil clé

« Après la Coupe du Monde 2003, mon corps était brisé. J’avais des douleurs lombaires chroniques, ma précision au pied avait chuté de 15 %, et je prenais des anti-inflammatoires comme des bonbons. Puis j’ai rencontré Richard Brennan, un professeur de Technique Alexander qui collaborait avec l’English Institute of Sport. Il m’a montré que ma technique de coup de pied ‘parfaite’ était en réalité une catastrophe : je forçais trop avec les muscles. Lors de la première leçon, il m’a fait allonger par terre et simplement respirer. Pas de ballon, pas de mouvement. Juste la conscience. J’ai pensé : ‘C’est n’importe quoi.’ Puis j’ai compris : j’avais passé ma carrière à combattre mon corps. La Technique Alexander m’a appris à travailler avec lui. » Source : Livre : "Jonny: My Autobiography" (2011, p. 187-192) – Il décrit sa première séance avec Brennan.

« Avant la Technique Alexander, je pensais que le coup de pied était une question de puissance. Maintenant, je sais que c’est une question d’économie. Mon ancienne routine : contracter tous les muscles, frapper fort, espérer le meilleur. Maintenant ? Je me tiens debout, je libère mon cou, je laisse le ballon tomber dans mon pied. La puissance vient du sol, pas de mon bras. C’est pour ça que je peux réussir 85 % de mes pénalités à 50 mètres. La plupart des buteurs frappent le ballon. Moi, je le laisse partir. » Source : Étude : "Biomechanics of Jonny Wilkinson’s Kicking Technique" (Journal of Sports Sciences, 2008)

« La Technique Alexander ne concerne pas seulement le coup de pied. Elle concerne l’être. Avant un match, j’étais une épave — nerfs, doutes, peur de l’échec. Maintenant, j’utilise l’exercice du ‘ah’ chuchoté pour calmer mon système nerveux. Je m’allonge 10 minutes, je me concentre sur ma respiration, et je me dis : ‘Je permets à mon cou d’être libre, à ma tête d’aller vers l’avant et le haut.’ Ce n’est pas de la magie. C’est de la neuroscience. Ça réinitialise mon système parasympathique. C’est pour ça que j’ai réussi le drop en finale de la Coupe du Monde 2003. Pas parce que j’étais courageux. Parce que j’étais présent. » Source : Interview The Times (2009)

« Après mon opération du genou en 2011, les médecins ont dit que je ne donnerais plus jamais de coups de pied comme avant. Ils avaient tort. J’ai passé six semaines à ne faire que du travail Alexander — pas de course, pas de coup de pied, juste reprogrammer mes mouvements. J’ai appris à inhiber mon habitude de bloquer ma jambe d’appui. La première fois que j’ai frappé un ballon après ça, ça a été sans effort. Voici le paradoxe : moins tu esses, mieux tu performes. La Technique Alexander m’a rendu ma carrière. » Source : Rééducation : Wilkinson a travaillé avec Lucia Walker (une spécialiste de l’Alexander pour les athlètes) pour réapprendre à marcher et courir sans compensation.

« J’enseigne la Technique Alexander à chaque jeune buteur que j’entraîne. Pas parce que c’est à la mode, mais parce que ça marche. La plus grosse erreur ? Penser qu’il faut forcer davantage. Le secret, c’est de forcer plus intelligemment. La plupart des buteurs tendent leur cou, courbent leurs épaules et forcent le ballon. Je leur apprends à laisser le ballon faire le travail. Ce n’est pas une question de force. C’est une question de conscience. » Source : Étude : "The Impact of the Alexander Technique on Kicking Accuracy" (International Journal of Sports Science, 2017)

Dans les années 1960, Davis souffrait de douleurs chroniques aux épaules et au dos, liées à une tension excessive lors de la direction d’orchestre. Son mentor, Sir Adrian Boult (lui-même élève de F.M. Alexander), lui aurait dit : "Mon garçon, si tu continues comme ça, tu finiras paralysé. Va voir Dr. Wilfred Barlow [un pionnier de la Technique Alexander]. Tu diriges avec tes bras, pas avec ton corps." Source : (Cité dans "Colin Davis: A Conductor’s Life", 2013, p. 89.)

En 1995, Davis et Shamsi ont financé un programme gratuit de Technique Alexander pour les étudiants de la Royal Academy of Music. Montant : £500,000 (équivalent à ~£1M aujourd’hui). Impact : Plus de 2,000 musiciens formés depuis 1995 (source : RAM Annual Report, 2022). "Si un étudiant en musique ne apprend pas l’Alexander, c’est comme si un pilote apprenait à voler sans connaître l’aérodynamique. Un jour, ça le tuera." Source : : RAM Annual Report, 2022 et Discours à la RAM

"À mon âge, chaque mouvement compte. L’Alexander m’a appris à ne pas forcer, à laisser mon corps faire ce qu’il sait faire naturellement. C’est une leçon d’humilité et de grâce." Source : The Times, 2016

En 2005, Dench a financé un programme de Technique Alexander pour les étudiants du Royal Academy of Dramatic Art (RADA). Montant : £250,000. Impact : Plus de 1,500 acteurs formés depuis 2005. "Si un acteur ne connaît pas l’Alexander, c’est comme si un musicien ne savait pas accorder son instrument. Un jour, il cassera." Source : RADA Annual Report, 2022 et RADA Archives, enregistrement vidéo.

"Mon cher, si tu veux survivre à cette vie sans finir voûté comme un vieux lord, tu ferais bien d’essayer la Technique Alexander. Même ton arrière-grand-père [George V] en a bénéficié pour ses discours." Source : "Charles: The Man Who Will Be King", Tom Bower, 1994, p. 212

« J’étais une épave physique. Des décennies de saluts, de garde-à-vous et de faire semblant de ne pas sentir le poids de la Couronne m’avaient laissé avec un dos en point d’interrogation et un cou comme un ressort tendu. Dilys Carrington ne m’a pas seulement appris à me tenir debout—elle m’a appris à m’arrêter. À arrêter de faire tout de travers. » Source : The Times (1993), interview pour un dossier sur la santé royale

"Un roi ne peut pas se permettre de se voûter sous le poids de la couronne – ni métaphoriquement, ni physiquement. L’Alexander m’a appris à la porter, pas à la subir." Source : The Telegraph

"Charles était le seul membre de la famille royale qui écoutait vraiment pendant les réunions. Pas de gestes nerveux, pas de regard fuyant. Juste une présence. Je suspecte que c’est grâce à cette technique bizarre dont il parlait toujours." Source : "A Journey", Tony Blair, 2010, p. 212.

« Je me suis assuré que William et Harry prennent des cours d’Alexander. On ne peut pas diriger si on est physiquement diminué. Le service militaire de Harry l’aurait brisé sans ça—et le dos de William aurait lâché à force de se pencher sur des poussettes. » Source : The Telegraph (2005), interview sur l’éducation des princes

En 2010, Charles a financé un cours de Technique Alexander pour les vétérans militaires via son association The Prince’s Trust. Montant : £500,000. Impact : Plus de 1,200 vétérans formés pour gérer le stress post-traumatique Source : The Prince’s Trust Annual Report, 2022 "Cette technique devrait être enseignée dans les écoles, les hôpitaux et les casernes. C’est un outil de liberté dans un monde qui nous pousse à nous crisper."

« Après la tournée des Wings en 1979, j’étais une épave. Mon dos me tuait, ma voix était fichue, et je gobais des antidouleurs comme des bonbons. Puis Linda a lu un article sur ce type, Patrick Macdonald, et sa Technique Alexander. Je me suis dit : ‘Super, encore un charlatan.’ Mais après une seule séance—juste allongé par terre, à ne rien faire—je me sentais plus léger. Pas guéri, mais… différent. Comme si quelqu’un m’avait débranché et rebranché correctement. » Source : The Beatles Anthology (2000), interview inédite

« Avant l’Alexander, je chantais comme si je poussais un rocher en haut d’une colline. Après, c’était plutôt comme… laisser le rocher dévaler la pente. Prenez Here Today : avant, je forçais sur les notes aiguës, comme si je devais les soulever. Maintenant, je les… laisse être. Geoff [Emerick] a dit que ma voix sonnait ‘non compressée’ pour la première fois depuis des années. C’est ça, la technique : moins d’effort, plus de son. » « John hurlait à s’en déchirer les poumons. Je l’enviais—jusqu’à ce que je réalise que je n’avais pas à faire ça. L’Alexander m’a appris à chanter avec mon corps, pas contre lui. C’est comme la différence entre ramer à contre-courant et… simplement flotter. » Source : Sound on Sound (1982), interview studio et Rolling Stone (1984), interview post-Pipes of Peace

« J’ai 76 ans et je suis toujours en tournée. Vous savez combien il y a de rock stars de 76 ans ? Pas beaucoup. Et ce n’est pas que de la chance—c’est comment je bouge. Je ne ‘joue’ plus. Je suis. Voila la différence avec l’Alexander : ce n’est pas une question de faire, mais d’être. » Source : The New York Times (2018), interview sur la longévité

« J’ai forcé Stella [sa fille] à prendre des cours d’Alexander à 16 ans. Elle me prenait pour un fou. Maintenant, elle est designer et passe ses journées assise à un bureau—elle comprend. Je dis à tous les jeunes musiciens de la LIPA : ‘Vous pensez être incassables. Vous ne l’êtes pas. Apprenez ça maintenant, ou vous le paierez plus tard.’ » Source : Liverpool Echo (2005), interview sur l’éducation